lundi 15 septembre 2008

Reprise des cours 2008 - 2009

Les activités du dojo reprenne ce lundi 15 septembre comme suit :


LUNDI 15 SEPTEMBRE
ZAZEN à Théméricourt à 7h du matin à la bergerie (en face la maison du parc).

AIKIDO ENFANTS
à Marines lundi 15 septembre à Marines à 18h 30 au gymnase de l'amitié (en face le collège)

ARMES
ADO ADULTES à Marines à Marines à 19h 30 au gymnase de l'amitié (en face le collège)

AIKIDO AD0 ADULTES
à Marines à Marines à 21h au gymnase de l'amitié (en face le collège)



MARDI 16 SEPTEMBRE
AIKIDO PETITS (grande section maternelle CP) à Vigny à 17h 30 salle des fêtes (derrière la mairie)

AIKIDO ENFANTS (8 - 14 ans)
à Vigny à 18h 30 salle des fêtes (derrière la mairie)

QI GONG ADO ADULTES
à Vigny à 19h 45 salle des fêtes (derrière la mairie)

AIKIDO ADO ADULTES
à Vigny à 21h salle des fêtes (derrière la mairie)



MERCREDI 17 SEPTEMBRE
ARMES ADO ADULTES à Théméricourt à 20h à la bergerie (en face la maison du parc).


Le premier ATELIER PLANTES aura lieu le 5 octobre à la bergerie (en face la maison du parc), à Théméricourt.

Vous pouvez venir essayer un cours (avec un certificat médical de non contre indication à la pratique de l'Aïkido), habillé en jogging ou vêtement souple.

Pour les anciens, veuillez apporter votre passeport.
cordialement
Luce Causse

vendredi 27 juin 2008

jeudi 19 juin 2008

20 juin 2008 - Soirée des pratiquants

Nous nous réunirons pour cette fin d'année, vendredi soir prochain, le 20 juin à partir de 20h45, dans la salle des miroirs de la mairie de Vigny.

Au programme partage d'un repas où chacun apporte quelque chose, partage d'idées et de réflexions sur cette année au dojo, ....

J'en profite aussi pour inviter les musiciens à venir avec leur instrument.

Si vous pouvez envoyer un mail précisant votre venue, je vous en remercie.

cordialement,

Luce

lundi 21 avril 2008

mardi 11 mars 2008

PHYSIOLOGIE : (C)

Le placement du bassin

Le bassin est un ensemble osseux formé par les deux os iliaques et le sacrum.

Il repose sur les têtes fémorales gauche et droite, introduites dans ses cavités cotyloïdes (articulation de la hanche).

Il sert de support au rachis, structure haubanée, rigide et souple à la fois, s'élevant jusqu'à la tête qu'elle soutient avec l'aide de la ceinture scapulaire.

Ces différentes pièces osseuses articulées entre elles sont de véritables leviers sur lesquels agissent les muscles.

L'homme étant bipède, il effectue beaucoup de ses gestes en station debout, station pour laquelle le placement du bassin est déterminant pour l'équilibre de la colonne vertébrale et, par voie de conséquence, celui du tronc, de la tête et des membres supérieurs.

L'efficacité mécanique d'un geste sportif dépend en grande partie de la qualité des leviers qui le produisent, donc des caractéristiques de ces leviers, et notamment de leurs points d'appui.

Considérons une inclinaison excessive du bassin vers le bas et l'avant qui, sauf luxation congénitale des articulations coxo-fémorales, est la conséquence, dans la majorité des cas, d'un développement insuffisant des muscles abdominaux. Pour compenser ce basculement du bassin et maintenir le centre de gravité du tronc au-dessus de l'axe des hanches, la région lombaire s'incurve vers l'arrière, déterminant une lordose lombaire, qui, à son tour, engendre par compensation une cyphose dorsale.

Le (la) pratiquant(e) présentant une telle morphologie sera sans doute favorisé (e} pour effectuer le grand écart latéral; en revanche, outre son handicap esthétique, il (ou elle) sera limité (e} dans les exercices de flexion et d'extension de la cuisse sur le bassin.

Le centre de gravité du corps humain est situé dans le bassin.

Dans la station debout ordinaire, la projection verticale du centre de gravité rencontre le milieu de la base de sustentation (en avant, tangente aux pointes des pieds; latéralement, bords externes des pieds; en arrière, tangente aux talons). Si le bassin est basculé en avant, en arrière ou latéralement, l'équilibre normal du corps est compromis. Pour maintenir celui - ci, des contractions musculaires adaptées sont nécessaires mais sont source de fatigue; le bassin n'est donc plus en mesure de fournir les solides points d'appui indispensables pour réaliser efficacement nombre de gestes techniques.

MC

samedi 8 mars 2008

PHYSIOLOGIE : (B)

Inspiration et expiration

Les échanges entre l’air et le sang se font dans les poumons au niveau des alvéoles qui représentent la partie terminale de l’ensemble des conduits amenant l'air dans l’organisme.

L'appareil respiratoire comprend le nez, le pharynx, le larynx (fermé de façon intermittente par la glotte) la trachée et les poumons.

A l'intérieur des poumons, une série de conduits (bronches, bronchioles) mène aux alvéoles où s'effectuent les échanges gazeux avec le sang.

Les poumons sont enfermés dans une enceinte close constituée d’éléments osseux et de muscles: la cage thoracique. La ventilation se fait par un cycle de deux mouvements de la cage thoracique, appelé cycle respiratoire :

v un mouvement d'expansion correspond à l'entrée d’air :

C’est l'inspiration

v un mouvement de retrait correspond à la sortie d’air :

C’est l'expiration

L'inspiration est assurée par des muscles inspirateurs

Principaux :

- les intercostaux externes et surcostaux et surtout le diaphragme

accessoires:

- les sterno-cléido-mastoïdiens, scalènes antérieurs, moyens et postérieurs

- les pectoraux (grand et petit)

- le grand dentelé, le grand dorsal

- le petit dentelé postérieur et supérieur

- les fibres supérieures du sacro – lombaire

L'expiration normale est un phénomène passif.

Le thorax revient par simple élasticité. En position debout, ce retour est facilité par la pesanteur. Seuls les muscles intercostaux internes sont les expirateurs principaux.

Pour 1’expiration forcée et 1’effort abdominal, interviennent les muscles abdominaux : le grand droit, le grand oblique et le petit oblique et, dans la région lombaire, le sacro - lombaire, le long dorsal, le petit dentelé postérieur et inférieur et le carré des lombes.

On appelle débit ventilatoire le volume courant (c'est-à-dire l'air déplacé par un cycle respiratoire normal à savoir une inspiration normale et une expiration normale) multiplié par la fréquence ventilatoire par minute.

Le volume d'air total contenu dans les poumons s’analyse comme suit (il s'agit de moyennes) :

L’espace mort anatomique défini par 1’ensemble des conduits de l'appareil respiratoire au niveau desquels ne peuvent pas s'effectuer des échanges de gaz avec le sang (nez, bouche, pharynx, larynx, trachée, bronches, bronchioles).

Le volume de réserve inspiratoire est le volume d'air déplacé entre une inspiration normale et une inspiration forcée. Il est de l'ordre de 3 litres.

Le volume de réserve expiratoire est le volume d'air déplacé entre une expiration normale et une expiration forcée. Ce volume est approximativement égal à 1 litre.

A la fin d'une expiration forcée, il reste un volume d'air dans les poumons. C'est le volume résiduel qui est de l'ordre de 1,2 litre.

La capacité vitale correspond à la somme du volume de réserve inspiratoire, du volume courant et du volume de réserve expiratoire (3+0,5+1 =4,5 litres).

Durant l'exercice, le ventricule droit envoie quatre à cinq fois plus de sang en direction des poumons.

On constate alors une légère élévation de la pression du sang à ce niveau ce qui indique qu'un grand nombre de capillaires pulmonaires se sont ouverts à l'occasion de l'exercice. Les quantités d'oxygène transporté vers les cellules et de gaz carbonique éliminé s’en trouvent augmentées d'autant.

Au repos, le débit ventilatoire est de l'ordre de 6 litres par minute. Durant un exercice pour lequel, excepté au début, l'ensemble de la production d’énergie est de type aérobie, ce débit peut atteindre 80 à 100 litres par minute et beaucoup plus chez un athlète entraîné jusqu'à 60 litres par minute.

L'hyperventilation est surtout liée à une augmentation du volume courant qui atteint la moitié de la capacité vitale; au-delà, l'hyperventilation dépend surtout de l'accroissement de la fréquence respiratoire.

Les phases de l'ajustement ventilatoire à l'exercice se traduisent par:

une légère augmentation avant le début de l'exercice;

une augmentation brutale dès le début de l'exercice.

C'est l'accrochage ventilatoire ; une augmentation plus lente en fonction de l'intensité de l'exercice.

Dès l'arrêt de l'exercice, le rythme ventilatoire s'abaisse en deux temps. D'abord rapidement, puis lentement.

Le pratiquant doit savoir que la respiration a tendance à s'accélérer constamment si l'exercice se prolonge. Ceci peut nuire considérablement à la ventilation du volume courant nécessaire.

Il faut alors insister sur le contrôle conscient du rythme respiratoire en mettant l'accent sur la profondeur de l'expiration.

La ventilation augmente linéairement avec le V02 c'est-à-dire, en fait, avec l'intensité de l'exercice jusqu'au seuil anaérobie. Au-delà de ce seuil, la respiration augmente deux fois plus vite que la consommation d'oxygène. Ceci est une conséquence de l'importance croissante des réactions anaérobies qui libèrent de l'acide lactique.

Plusieurs auteurs (notamment Péronnet, 1988) considèrent que la ventilation, dans des conditions ambiantes normales, ne limite pas le volume maximal d'oxygène pour la plupart des pratiquants.

Malgré tout, une légère désaturation en oxygène du sang artériel est constatée chez les athlètes ayant un fort V02 max lorsqu'ils travaillent à leur puissance maximale aérobie.

MC

vendredi 22 février 2008

mardi 12 février 2008

jeudi 31 janvier 2008

jeudi 3 janvier 2008